Burkina Faso : Le Capitaine Ibrahim Traoré, un Président au service de la révolution agricole
Depuis sa prise de fonction, le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso a placé l’agriculture au cœur de son action gouvernementale. Conscient que la souveraineté alimentaire est une condition essentielle de l’indépendance d’un peuple, il a engagé une véritable révolution verte pour renforcer les capacités de production des paysans et valoriser les potentialités agricoles du pays.
Sous sa direction, plus de 400 tracteurs, 239 motoculteurs, 710 motopompes et 714 motos ont été distribués aux producteurs. Cette mécanisation progressive du monde rural vise non seulement à moderniser l’agriculture, mais surtout à soulager les efforts physiques des paysans et à améliorer les rendements. Un signal fort d’un président proche des réalités de son peuple.
Parallèlement, l’accès aux semences améliorées et à d’autres intrants agricoles essentiels a été facilité. Résultat : des cultures autrefois fragiles deviennent aujourd’hui des sources de revenus solides. L’exemple le plus parlant reste celui de la tomate, dont la production est passée de 315 000 tonnes métriques en 2022 à 360 000 tonnes métriques en 2024, confirmant la dynamique positive enclenchée.
Au-delà des chiffres, cette politique agricole redonne espoir et dignité aux producteurs burkinabè. Elle participe à la lutte contre l’insécurité alimentaire, crée des emplois en zone rurale, et pose les bases d’une véritable souveraineté alimentaire nationale, loin des dépendances extérieures qui ont trop longtemps freiné le développement du Burkina Faso.
Le Président Ibrahim Traoré prouve ainsi que l’agriculture, loin d’être un secteur marginal, peut être un levier central de développement économique, social et politique. En misant sur la terre et ceux qui la travaillent, il incarne une vision de progrès ancrée dans la réalité et portée par la volonté de rendre le Burkina maître de son destin.
