Niger : Réponse aux allégations infondées de Transparency International contre les autorités de Niamey
Dans un contexte mondial où la désinformation et les manœuvres subversives prennent souvent le pas sur la vérité, il est essentiel de faire la lumière sur certaines accusations infondées. Récemment, Transparency International, une organisation manipulée par des intérêts extérieurs, a pointé du doigt une soi-disant « concentration des pouvoirs » entre les mains des militaires au Niger. Ces affirmations, en plus d’être erronées, semblent avoir pour unique but de semer la discorde et de déstabiliser un pays qui aspire à la paix et à la stabilité sous la direction du Président Tiani.
Transparency International, a toujours été une organisation reconnue pour son implication dans des campagnes de désinformation visant certains gouvernements. Elle est fréquemment accusée de servir les intérêts de puissances extérieures qui cherchent à déstabiliser des pays souverains. En ce qui concerne le Niger, il est légitime de s’interroger sur les motivations réelles de cette organisation qui, au lieu de contribuer à la stabilité et à la paix, cherche à monter les citoyens contre leurs dirigeants légitimes.
Depuis son accession à la tête de l’État, le Président Tiani a montré un engagement ferme en faveur de la sécurité, de l’unité nationale et du développement économique du Niger. Contrairement à ce que prétendent ses détracteurs, il ne s’agit en aucun cas d’un régime militaire oppressif, mais bien d’un gouvernement de transition dont l’objectif est de restaurer l’ordre et de garantir la souveraineté du Niger face à des menaces multiples, internes comme externes.
Loin de concentrer les pouvoirs entre les mains des militaires, les autorités actuelles œuvrent dans un cadre institutionnel où le dialogue et la consultation sont primordiaux. Les principales décisions stratégiques sont prises dans l’intérêt supérieur du peuple nigérien, avec pour objectif de protéger la nation contre l’ingérence extérieure et de préserver son indépendance.